Délires
J’ai laissé tomber le savon dans la
baignoire.
Quelle histoire !
La farine m’est tombée sur les bras.
Quel dégât !
Le lion dans sa cage rugit de
désespoir.
Quel déboire !
Les mouettes ont échappé des fientes.
Les démentes !
Le pétrolier dégaze dans les flots.
Quel culot !
Le caoutchouc tire sur son élastique.
Quel déclic !
Les oiseaux-lyres jouent de la guitare.
Y’en a marre !
C’est partout la fanfaronnade .
Quelle débandade !
Les poètes écrivent n’importe quoi.
Ce sont les rois !
Les lecteurs critiquent sans cesse.
Quelle tristesse !
Les trottoirs sont tout enneigés.
Il
faut marcher d’un pas léger !
C’est le grand plongeon dans la vie.
Quelle envie !
J’ai laissé tomber le savon dans la
baignoire.
Quelle histoire !
La farine m’est tombée sur les bras.
Quel dégât !
Le lion dans sa cage rugit de
désespoir.
Quel déboire !
Les mouettes ont échappé des fientes.
Les démentes !
Le pétrolier dégaze dans les flots.
Quel culot !
Le caoutchouc tire sur son élastique.
Quel déclic !
Les oiseaux-lyres jouent de la guitare.
Y’en a marre !
C’est partout la fanfaronnade .
Quelle débandade !
Les poètes écrivent n’importe quoi.
Ce sont les rois !
Les lecteurs critiquent sans cesse.
Quelle tristesse !
Les trottoirs sont tout enneigés.
Il
faut marcher d’un pas léger !
C’est le grand plongeon dans la vie.
Quelle envie !