Avant de décider
qu’un élève est en « échec scolaire », encore faut-il connaître les
raisons et essayer d’établir des diagnostics.
Je ne crois pas qu’un
élève soit « moins fait pour les études » qu’un autre. Je pense que
si un élève éprouve des difficultés, rien ne sert de lui mettre une étiquette.
J’ai une grande
expérience dans différents milieux scolaires qui m’a permis d’essayer de
comprendre les élèves qui ne réussissaient pas.
Je pense qu’il
faut d’abord éliminer plusieurs causes ! Des problèmes de vue, d’audition
ou de compréhension.
Antoine De La
Garanderie, un grand pédagogue, a été qualifié « mauvais élève » et
bafoué jusqu’à temps qu’on s’aperçoive qu’il n’entendait pas.
C’est pareil pour
la vue, il est possible que l’élève n’arrive pas à lire ce qui est au tableau. Donc
ses notes sont illisibles et incompréhensibles.
Antoine De La
Garanderie a mis en évidence les différents comportements de compréhension :
la compréhension auditive, la compréhension visuelle et la compréhension kinesthésique,
il en existe sans doute de nombreuses autres. Ces différents facteurs entrent
en compte dans le mécanisme de la mémoire et permettent à l’élève d’emmagasiner
les informations avec une méthode qui lui est propre.
Chacune de ces
potentialités peut être développée avec des moyens professionnels que je tiens
à votre disposition si vous en formulez la demande.
Des spécialistes
dans l’éducation nationale peuvent vous aider à détecter les différents aspects
cités : l’assistante sociale, le médecin scolaire, la conseillère/ le
conseiller d’éducation psychologue scolaire, les enseignants et les
surveillants qui ont un rapport privilégié avec les élèves.
L’élève précoce :
Il s’ennuie en
cours, n’apprend pas ses leçons car il a tout compris plus vite que les
autres et ne comprend pas pourquoi on
passe autant de temps sur un sujet. Il ne travaille que très peu à la maison et
parfois se désintéresse des études. Il est parfois considéré comme un « mauvais
élève ». Une solution diagnostique simple, lui faire passer un test de QI.
Uniquement les psychologues peuvent le faire. Prendre un psychologue extérieur
au système scolaire est souhaitable.
Le psychologue
vous fera un compte rendu détaillé en
vous expliquant en détails, de plus il pourra vous donner des conseils.
Le QI est
en-dessous de la moyenne ? Pas de panique, il n’est pas immuable, un QI,
ça se travaille. Il existe des sites qui proposent des stages qui épanouissent
la personnalité et l’échange intellectuel.
qu’un élève est en « échec scolaire », encore faut-il connaître les
raisons et essayer d’établir des diagnostics.
Je ne crois pas qu’un
élève soit « moins fait pour les études » qu’un autre. Je pense que
si un élève éprouve des difficultés, rien ne sert de lui mettre une étiquette.
J’ai une grande
expérience dans différents milieux scolaires qui m’a permis d’essayer de
comprendre les élèves qui ne réussissaient pas.
Je pense qu’il
faut d’abord éliminer plusieurs causes ! Des problèmes de vue, d’audition
ou de compréhension.
Antoine De La
Garanderie, un grand pédagogue, a été qualifié « mauvais élève » et
bafoué jusqu’à temps qu’on s’aperçoive qu’il n’entendait pas.
C’est pareil pour
la vue, il est possible que l’élève n’arrive pas à lire ce qui est au tableau. Donc
ses notes sont illisibles et incompréhensibles.
Antoine De La
Garanderie a mis en évidence les différents comportements de compréhension :
la compréhension auditive, la compréhension visuelle et la compréhension kinesthésique,
il en existe sans doute de nombreuses autres. Ces différents facteurs entrent
en compte dans le mécanisme de la mémoire et permettent à l’élève d’emmagasiner
les informations avec une méthode qui lui est propre.
Chacune de ces
potentialités peut être développée avec des moyens professionnels que je tiens
à votre disposition si vous en formulez la demande.
Des spécialistes
dans l’éducation nationale peuvent vous aider à détecter les différents aspects
cités : l’assistante sociale, le médecin scolaire, la conseillère/ le
conseiller d’éducation psychologue scolaire, les enseignants et les
surveillants qui ont un rapport privilégié avec les élèves.
L’élève précoce :
Il s’ennuie en
cours, n’apprend pas ses leçons car il a tout compris plus vite que les
autres et ne comprend pas pourquoi on
passe autant de temps sur un sujet. Il ne travaille que très peu à la maison et
parfois se désintéresse des études. Il est parfois considéré comme un « mauvais
élève ». Une solution diagnostique simple, lui faire passer un test de QI.
Uniquement les psychologues peuvent le faire. Prendre un psychologue extérieur
au système scolaire est souhaitable.
Le psychologue
vous fera un compte rendu détaillé en
vous expliquant en détails, de plus il pourra vous donner des conseils.
Le QI est
en-dessous de la moyenne ? Pas de panique, il n’est pas immuable, un QI,
ça se travaille. Il existe des sites qui proposent des stages qui épanouissent
la personnalité et l’échange intellectuel.